•  Hominisation faite par mes soins,  sur ma pomme,  à mon idée. Belle bête, non ?Ah non ? Ah non alors. Bon.

    Balbc, ma Valentine m'a perfidement invitée à vous conter « Si j'étais née garçon »!

    Si j'étais un mec, je voudrais être une royale  MPP ! Une Medaille Prise dans le Poil. Chemise ouverte, chaine en or qui brille ! ( je t'ai entendu  toi, là-bas au fond chantonner à la I Am !).
    Si j'étais un mec, je voudrais être un shooter de targets,  un vrai killer de poulettes !  Un champion du monde qui emballe la dinde sans avoir à casquer les marrons, le sourire ultra brite, le canine ravageuse, la tignasse à la Samson et Davina Dalida, et  l'œil myokymique !
    Vous jetez pas sur le Vidal, voici la minute Wikipédia :
    «  Une myokymie est une sorte de trémulation, tremblement, agitation quasi continuelle d'un muscle ne s'accompagnant pas de déplacement du membre ou d'une partie du membre concerné par la fasciculation »

    J'déconne.  Si j'étais un mec, je voudrais être une fille. Je voudrais pas être un mec, parce qu'un mec c'est obligé de passer à la casserole, ça  peut pas prétexter  le débarquement des Anglais ou le marteau piqueur dans le cervelet !
    Je voudrais pas être un mec, parce qu'un mec, ça a toujours des fourmis dans le bras, parce que sa poulette  s'en sert comme oreiller et verrouille la tête en bavant dessus. « Quoi ? Quoi ? Pourquoi t'as enlevé ton bras ?! Tu m'aimes pas, hein c'est ça ! Si tu m'aimes paasssss !! Ouinnnnnnnn !! ».  Alors le mec quand il aime vraiment, c'est une fourmilière qu'il a  à la place du bras.
    Je voudrais pas être un mec, parce qu'un mec, ça peut pas pousser des petits cris hystériques de canari sous ecsta devant la dernière Audi (  à la limite,  ça peut pisser de joie sur le parking) alors qu'une  poulette, ça   peut trop se rouler par terre et se jeter contre le papier peint devant le dernier gloss Lovamoor.
    Je voudrais pas être un mec, parce qu'un mec  ça  peut pas  camoufler le bouton qui tue, sinon on dit que c'est un  chouchou, alors qu'une fille,  ça peut sortir l'artillerie de guerre et passer pour une Diva.
    Je voudrais pas être un mec, parce qu'un mec, ça se tire les poils comme les filles. Sauf que des poils, ils en ont bien plus, et c'est déjà beaucoup plus survivor...Pool ! Et deux boulettes tartares  pour la treize, deux !
    Je voudrais pas être un mec, parce qu'un mec, c'est tellement sûr  d'être un mec que ça se fait rouler comme une barquette petit lu à la framboise par les poulettes.

    Allez, faites tourner, faites tourner : mesdames Aodai, Nina la Louve, La Guerrière et Dorothée,  vous pouvez prendre la corde au vol si ça vous chante et nous conter « Si j'étais née garçon ». 

    Bon, c'est pas tout ça mais faut que je trouve une fourmillière moi !

     Bouh !

     


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  •  ( Merci Fish pour tes photos)

    La nuit dernière, une pure soirée,  en plein Paris chez des amis, Bolu et Zack, deux extra-phénomènes. J'ai traîné le poisson par la queue, pardon, par la nageoire. (désolée, pas pu m'empêcher ! bouh !)Le bougrin ne voulait pas sortir de son bocal ! Finalement, à force de pleurs, de cris, de  roulés-boulés sur la moquette, triple salto arrière plus une menace de  suicide à l'apéricube, Damon Fishturn a daigné m'accompagner à cette Champagne Party.

    Magwann :« Allo ? »
    Damon :« Moui.. ( grommelant)
    Magwann  « Bon alors on se rencontre au Troisième lieu ! »
    Damon  « Dis-donc, c'est pas un rdv meetic hein ! On se « rencontre » pas, on se « voit » ! »
    Magwann  « Roo, Fish, je vais pas te sauter dessus, t'inquiète ! En revanche, t'as intérêt à arriver à l'heure parce que pour le coup c'est moi qui risque de servir de quatre heure BN !
    Damon  « ??.. »
    Magwann  « Ben le Troisième Lieu c'est un peu Lesboland si tu préfères, le repère  des  Ginettes armées ! »
    Damon  « Gremeuleumeuleu... t'es une grande malade »

    Ca commençait au poil à l'écaille ...cette soirée..

    Nous voilà donc attablés avec le poisson. Attention... (soyez très attentifs, ça va être rapide )  Action ! Ejectés des sièges par la serveuse en 24secondes chrono : « C'est réservé ! ».Pas de soucis, on s'arrache. La susceptibilité nous rassemble avec le poisson.Bar d'en face, en terrasse. Quelques grammes plus tard et délestés de plusieurs cigarettes ( Fishturn  et Magwann : tabac service, gardez le briquet), Fish manque de terminer en sushi enroulé dans sa feuille de salade des mers !( sisi,il le raconte très bien chez lui,). 

    Après avoir expérimenté le concept de la sardine en boite  dans l'ascenseur avec Mister Gilles, compagnon de voyage,  welcome to the party ! Le DJ pulse le son, la baignoire déborde de bouteilles, ça grouille de partout. Le poisson bouteille opère, distribuant les bulles aux rémoras de passage. Il plait aux gens le poisson, papillon, dos, brasse, crawl. Piqué ? Coulé ! Et il repart surfant sur la vague. Je l'ai même vu esquisser un pas de danse  maîtrisé ! Vérité vraie. Le Fish, il a passé son temps à se faire accoster, et pas que pour ses bouteilles.

    De belles et étonnantes rencontres.

    Focus : William, personnage pétillant, compositeur, musicien, chanteur. Tu sais, lui dis-je, Bolu m'a invitée à un de tes concerts il y a quinze jours, je regrette déjà de m'être désistée ! « Dimanche prochain, tu viens ! » me lance-t-il. Ok, j'y serai !

    Focus :  charmant Sasha, rayon de bonheur, monté sur alcalines,  le genre  Humain par excellence.

    Focus : Mister  P., collectionneur d'Art. Le Fish, après lui avoir  dithyrambiqué mes bouts de terre,  me ferme  une poignée de chips dans la main  et me balance « démerde toi maintenant ! ». Le Fish, j'ai eu envie d'en faire du pâté de sushi.( NB : j'ai donné ton numéro au cuistot japonais, héhé). Mister P. m'a dit : « On va  se voir, tu me montres ce que tu fais, tu n'as pas le choix ». Je faisais pas ma fiérode, flippée que je suis. J'ai eu beau lui dire que je n'avais jamais montré en vrai mes bricoles et je que je n'étais pas prête à le faire, Mister P m'a dit : « On s'en fout, tu me montres ce que tu fais et ensuite pour décompresser je veux que tu proposes un truc délirant, étonne-moi! ». Je me suis  retrouvée comme une rondelle de frite ! Fish & frite ! (dixit Sasha). Je lui ai répondu : «  Fais gaffe parce que moi je suis pas mal barrée tu sais ! ». «Vas y ! Balance moi ! Etonne-moi ! » qu'il me répond. Alors je lui ai proposé d'aller manger des ananas dans  les catacombes...Allo Sigmund ?

    Focus : Ce magnifique métisse, la veste turquoise, les cheveux en pétard, il a déposé des paillettes sur ses paupières. Il électrise. Par moments, il pousse le chant. Il me dit : « Bonsoir Marion Cotillard ». Président Mandor m'a déjà fait la réflexion. Ca m'amuse.

    Focus : Mister ? a bien plongé dans la bouteille, il sculpte. Il me prend le visage, le caresse du front jusqu'au menton, tout en me disant : « Je suis très tactile, j'ai besoin de toucher la matière ». Magwann, poly pocket. Il m'a fait le coup trois fois dans la soirée. Quand il a commencé à polypocketer  ma fesse, j'ai compris qu'il  voulait aussi  jouer au docteur et à l'infirmière...J'ai grondé et j'ai ramassé le jouet. Mêchante Magwann.

    Focus : Mister D. une fiction à lui tout seul. Suisse italien, il m'expliquera entre deux bouffées de cigarillo à la vanille, que pour occuper son état de rentier, il élève des Schipperke, petites bêtes qui ressemblent à des renards. Et puis il m'a montré sa jambe en aluminium, en toute simplicité !

    Focus : Et puis le grand retour de Ken Guacamole : Ken, Ken, Ken. Comment te dire ? Rien. On en a déjà parlé ici et puis dans la baignoire. Oui, tu danses avec moi. Rentre bien et prends soin.

    6H. Enroulée dans un drap blanc, je me suis écroulée dans le canapé avec Fish et Sasha. J'observe cette fille qui se trémousse dans  sa mini jupe en cuir noir, décolleté vertigineux et manches boléro. Beauté vulgaire fascinante.   

    Le Fish et moi on a fait la fermeture, on a ramassé les verres, bisou bisou aux hôteliers et direction l'After proposée par Gilles. Passage express au club, épuisés. Puis avec Fish, on s'est promené à l'aube, attendant l'ouverture des cafés. Orange pressée, café, croissants, instants magiques.
    Bises Damon Fishturn, tu m'as étonnée.


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  • Ou la pire soirée de ma vie ( parmi d'autres)

     

    Quand on a vingt ans, faire son entrée en boite, c'est pire qu'un concours canin, c'est le tuning du caniche. La cagole est au garde à vous, la croupe rebondie, la langue ramassée, le soupçon d'arrogance qui renvoie le basset et autre shitsu au panier !

    Avec ma pote Krys, on avait sorti l'artillerie lourde  un samedi soir à Toulouse.

    Alors nous voilà, les cagoles, croustillantes comme deux tartes, comme deux quiches, comme des banettes qui sortent du four,  les seins gonflés à l'hélium, le cervelet comprimé, paradant comme des Royales niniches.

     

    Et puis, cet instant qui a brisé nos carrières d'apprenties cagoles : le super DJ a pris son micro, a baissé le son et a hurlé, en toute simplicité : « ET VOILA LAURE SINCLAIR ET TABATHA CASH !!!».

     « Il parle pas de nous là ? Hein ! IL PARLE PAS DE NOUS ?!! Sisi...»

    Les cagoles,  ça fonctionne toujours comme les flopées de volatiles : synchrones, à la virgule. Alors allons-y, tournage  à 380 degrés...On reste digne s'il vous plait. Au regard des abrutis hilares qui nous fixaient, on pouvait dire que l' ADN dindesque matchait à 99,99 %, on  pouvait pas se tromper, le show, c'était bien nous...

    Top classe. Vraiment. TOP CLASSE.Je crois qu'il n y aura jamais assez de vocabulaire pour décrire cet insoutenable  moment de honte intégrale.
    Laure et Tabatha...(entre nous, si ma copine et moi on avait été gaulé comme des pornogirls, je chercherais pas un dindon dans mon  frigo !( comprendront les lecteurs assidus de mon bricbracbroc).

     Alors on a marché comme des dindes empalées sur leur broche jusqu'aux WC. Les filles, ça part toujours en délégation armée aux chiottes.
    Messieurs: vous qui êtes convaincus que les nanas refont la plomberie quand elles vont aux gogs, tellement ça dure, je vais lever le secret :

    • Une fille aux chiottes, ça remet son string en place, ça déboutonne le sky pour pouvoir respirer, parce qu'une fille sur la piste, ça rentre son  ventre et ça danse en apnée.
    • Une fille aux chiottes, ça retartine pour la dix septième fois sa bouche de gloss «  I am Forever a woman, touch me, touch me, I wanna feel your body » et puis ça  lovamoorise  ou ça loloferrarise devant la glace, c'est selon le modèle (celles qui lovamoorisent-lloferrarisent, en général, c'est du tuning).
    • Une fille aux  chiottes, ça passe au Wanted : vue de face, vue de profil, vue de l'autre profil, vue de derrière. Vue de face avec le twin set  ouvert, vue de profil avec le twin set ouvert,vue de l'autre profil avec le twin set ouvert, vue de derrière avec le twin set ouvert. Vue de  face avec le twin set fermé, vue de profil avec le twin set fermé, vue de l'autre profil avec le twin set fermé, vue de derrière avec le twin set ouvert. Une fois le contrôle technique terminé, la cagole demande une double expertise : vue de face par la copine, vue de profil par la copine, vue de l'autre profil par la copine, vue de derrière par la copine. Vue de face par la copine avec le twin set  ouvert, etc, etc. C'est exponentiel : plus il y a de copines, plus il y a d'expertises. Quand on a de l'expérience, on va aux chiottes avec une seule cagole, on gagne du temps.
    •  Une fille aux chiottes, ça repère les  cagoles de troisième choix ( les pas gâtées ) pour se rassurer. «  Ouais, d'accord,  c'est un modèle 83 mais, mais ses jantes sont molles ! Et pis t'as vu son coffre ? »
    •  Une fille aux chiottes, ça passe sans arrêt des contrôles techniques : « Ca me fait pas un gros cul, t'es sûre ? Nan, mais t'es sûre hein ?».Généralement, votre gros cul, il est venu avec vous, il a pas rétréci au vestiaire...Mais il y a toujours une amie cagole pour vous rassurer, même si  oui, le gras déborde du jean et plus que le sien. C'est pour ça qu'elle vous aime la copine et qu'elle sort avec vous.
    • Une fille aux chiottes, ça tapote énergiquement l'eau chaude du robinet dans le décolleté, des fois que les tétons pourraient pointer. « Oh ! Chuis trop dizailleurrrre » (desire on dit).
    • Une fille aux chiottes, ça passe au scanner intégral:
      « On voit pas mon string sous mon strench,  t'es sûre hein? »
      « Naaaaannnn ! J'te jure, on le voit pas ton string !!! »
      « Merde...fait chier... »
      ....
    • Une fille aux chiottes, ça va pas aux chiottes. Ou alors  pour vomir. Et accessoirement pour changer le timbre fiscal (  il y a douze timbres dans l'année, vous me suivez ?). Quand il n'y a plus de timbre  après une soirée collé-leché, la cagole  passe une annonce dans le journal départemental, pour trouver le postier. Ou les postiers...

    Ma pote Krys, c'est une cagole vintage comme on en fait plus,  avec la ceinture de sécurité, une vraie gentille.
    Donc nous revoilà, au sortir du contrôle technique,  Krys, Magwann et  Bruno. Ben oui, Bruno.
    Pendant  la révision au garage, Krys a fait dans le  Samu social et nous colle donc Bruno, maton, qui  vient de se faire opérer. D'ailleurs, à y regarder de plus près, plus rien ne dépasse sous la micro jupe en sky  et mis à part ses forceps de docker, ses épaules de bison  et sa voix de baryton  acidulée aux  gloups de pastilles la Vosgienne, Bruno est un chic type une chouette nana.
    Sauf que. Sauf que, on  l'avait  pas vu venir notre nouvel ami fidèle... Allez, c'est parti pour quatre heures de copinage clinique thérapeutique !

    A la fin de la soirée, on était incollable sur les injections d' hormones, l'ablation  de la pomme d'Adam, l'épilation intégrale, la greffe de cheveux sur les lobes frontaux, la réduction des maxillaires, l'implantation des prothèses mammaires, les joies du botox  et du collagène, le désossage de cotes...Après cette formation accélérée du Vidal par  Wikipedia, on est parti se trémousser.  
    Voilà donc nos trois cagoles qui dansent sur la piste, 5m 30 au moins de beautés fatales.

    Krys me tope l'épaule et gargouille avec ravissement : « Et, t'as vu, tout le monde nous mate ! »

    Ben tu m'étonnes qu'on nous MATAIT !!!! On  nous a pris  pour trois trav !!!!
     J' t'en foutrais du maton moi !!

    C'est la seule et unique fois où j'ai failli étrangler ma Cagole.
    On en rit encore.

    Bouh !


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  •  
     
    Hier matin, pause clope :

     
    Magwann : «  Putain c'est dingue quand même cette fusillade aux US, le mec a bloqué les portes avec des chaines pour faire son carton, faut être sacrément allumé »
    Collègue one : « Hein ? C'est quoi cette histoire ? »
    Magwann : « Ben, t'écoutes  pas la radio ? »
    Collègues one & two : « ... »
    Magwann : « Y'a un mec qu'a buté une trentaine d'étudiants sur un campus en Virginie »
    Collègue one : « Mais c'est horrible »
    Collègue two :« Putain, c'est chiant les mauvaises nouvelles »
    Collègue one : « Moi ça me déprime »
    Magwann et les collègues : « ... »
    Collègue one : «  J'ai repéré un sac hyper mignon hier »
    Collègue two : «  Ah oui !!!! Raconte !! »
    Magwann : « Tiens, ça me fait penser à cet artiste  qui vend des  sacs en silicone, imitation chair  humaine, démentiel, un truc de malade ! »
    Collègue one : « ... »
    Collègue two : « ... »

     
    Parfois, souvent, je ferais mieux de fermer ma gueule.
    Tiens, vais m'acheter Biba pour la prochaine pause clopes. 

     
    Ps : c'est con parce que  hier soir me suis maté « Serial killers les vrais Hannibals Lecters ». J'aurais bien aimé en discuter, en particulier de la polémique sur le cannibalisme : pulsions primitives ou  perversité de l'esprit ?  
    Allo, Sigmund ?  
    Tu  me remettras un Rock to the beat!


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  • Good Morning Viet Nâm !

    Ces temps ci, je n'ai pas vraiment le temps de poster, car deux  bidules  me tarabiscotent :

    Et d'une : on m'a commandé  une bricole. Jusque là, pas de soucis. Sauf que je dois pondre  un chat. Un CHââât. Alors déjà, les chats, j'aime pas. C'est pas tant la bêbête qui me gène, mais les poipoils... A tes souhaits. A tes Amours. Qu'ils durent toujours (et ma main, tu la veux ?). Je suis une balise argos à chats.Vous me remettrez une Ventoline et deux Bécotides.
    Du coup, ce  chat, j'ai comme envie de le faire rissoler dans une casserole. Ou un grille pain.
    Comme Alf, mon modèle :

     



    Et de deux : ma question qui fait marrer mes collègues au taf  (Maitre capella ou Google Universe qu'ils m'appellent)-Z'allez voir vot' gueule à la récré- et que je me pose depuis des jours : LA POSITION ASSISE EST-ELLE NATURELLE CHEZ L'HOMME? Rester des heures devant un écran, la colonne en sharpi, peut-il engendrer des mutations physiologique, (sur plusieurs générations, hein) ? Ca paraît peut-être complètement demeuré comme question mais je bloque sur ça. Me dites pas que je suis la  seule dingo à m'interroger sur ça ?Ha si ? Bon.
    What's going on ? Nothing. Just screaming.

     



     Interesting concept, isn't it?

    Bouh !


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