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La baignoire
Cette nuit.
Une fête, puis une autre. Lui est réapparu et m'a emmenée dans cet endroit du XX ème, trois étages, une foule de gens, des percus, des cuivres, des cordes, du son tech, dans toutes les pièces.
Dehors, la voie ferrée.
Cette fille, là-bas, le crâne rasé, ventre nu, elle danse.
Une autre, peau épice, cadence avec férocité, lignes du visage dessinées à l'égyptienne, sculpture mouvante. Divine.
Melting pot : costards, rastas, tech people, human metal.
Dans ce canapé zébré. Lui, je ne veux toujours pas de toi. La fumée de tabac. C'est tout ce que tu auras de moi.
Tu me dis trop fière, idéaliste, égoïste, rigide ? Tu as oublié passionnée.
Ecoute le son des gens et garde tes si beaux yeux bleus pour les autres.
Un homme, deux hommes, trois hommes. Rien à brader.
Cette baignoire. La matrice est vide, elle brille d'être remplie. De vrai.
La phrase du père hier : « à force de trop d'exigence, on finit seul ».
Ca me va.
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Commentaires
>Boronali
Possible, faudrait demander au proprio. Fais-moi penser à mettre du collyre la prochaine fois que je traine sur ton blog, Boro!...ken !
Je decouvre Ken Guacamole :)), ah mais c'est qu'il est epice celui-ci ! Finalement, demande le ken crapaud au pere nenuphar... il se transforme parfois.trousse de 1er secours
Du collyre ? Est-ce à dire que mon blog fait mal aux yeux ? (merde, mon futur template est loin d'être au point ...)>Boronali
Mal aux yeux? Faudrait-il encore pouvoir avoir des yeux au bout de deux minutes! :-)l'exigence
l'exigence c'est savoir ce qui ne nous convient pas, donc par élimination savoir ce qui nous convient... Reste à trouver chaussure à sa pointure.magwann
Finalement, tu as surement raison... Les chaussures ne servent qu'à emprisonner les pieds :-)
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tu as raison.